« Puis, par le passé, la majorité des productions pornographiques qui ont creusé le thème du virus ont été d’emblée reléguées à une niche. « Tous les films qui ont flirté avec les échanges de fluides, les productions corporelles, l’idée de la contamination, le danger de la mort se sont retrouvés dans le créneau du cinéma d’auteur pornographique, explique Falardeau. Je pense à Café Flesh de Rinse Dream, paru en 1982, dans lequel le 1 %, ce n’étaient pas les riches mais bien ceux qui pouvaient faire l’amour parce qu’ils n’étaient pas contaminés. Donc… les chanceux de la gang ! » »
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