« Ce huit clos perturbant, nauséabond, à la limite du soutenable, se veut également une oeuvre beaucoup plus profonde que son histoire minimaliste et ses trainées de chair putréfiées ne puissent laisser croire. Éric Falardeau, auteur de l’ouvrage Le corps souillé : gore, pornographie et fluides corporels (2019), nous offre ici un film à la hauteur des éléments dits « underground » explorés dans son ouvrage en question, et nous expose à sa capacité de les intellectualiser. Les effets spéciaux impressionnants de David Scheffer et Rémy Couture fascinent presqu’autant qu’ils nous mettent mal à l’aise. Une lente descente aux enfers psychologique et viscérale, à ne regarder qu’après le souper d’Halloween, mais avant les bières décompressantes. »
À lire ici :
Étiquette : Fluides corporels
Pourquoi ces visages convulsés ? (Libération – Blog Les 400 Culs)
Mention de mon dernier essai « Le corps souillé : Gore, pornographie et fluides corporels » sur le blog Les 400 culs du quotidien français Libération !
Le livre est toujours disponible en librairie ou sur commande au Québec ainsi qu’en Europe.
« Dans un très stimulant ouvrage intitulé Le corps souillé, le chercheur québécois Éric Falardeau s’intéresse au lien qui unit ces deux genres cinématographiques : l’exhibition spectaculaire des émotions (psychiques) et de leur pendant corporel (les fluides). Les mises en scène excessives du porno et du gore sont transgressives, dit-il, parce qu’elles montrent des passions (à une époque qui les condamne) et des convulsions de chair, jugées de nos jours parfaitement suspectes. Dans notre société – dominée par les valeurs du contrôle de soi–, les «transports» et les effervescences sont devenus des pathologies. Celui ou celle qui perd la maîtrise de ses sens ferait bien de consulter. Trop d’envies ? Addiction ! Trop de pulsions ? Danger. »
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http://sexes.blogs.liberation.fr/2020/06/10/pourquoi-ces-visages-convulses/
« Evil Dead, le film préféré de Fellini ? » (Critique sur Les 400 culs)
Critique de mon dernier essai « Le corps souillé : Gore, pornographie et fluides corporels » sur le blog Les 400 culs du quotidien français Libération !
Le livre est toujours disponible en librairie ou sur commande au Québec ainsi qu’en Europe.
« Vous voyez les gros plans d’éjaculation dans le porno ? Eh bien, dans le gore, c’est pareil mais en rouge. Intitulé “Le corps souillé”, l’essai qu’Éric Falardeau consacre aux fluides corporels défend l’idée que sperme ou sang, peu importe : mépriser le porn ou le gore trahit la même haine du corps. »
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Le corps souillé : courte présentation
Éric Falardeau nous présente « Le corps souillé », son essai publié l’an dernier dans la collection « L’instant ciné ». Il en profite pour nous en lire un petit extrait qui devrait convaincre les récalcitrants que le gore et la pornographie peuvent aussi être des sujets sérieux!
Commande au Québec, c’est ici.
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Quand la pandémie se glisse dans la porno
« Le corps pornogore ou le temps de la transgression »
« Le livre est ainsi à la fois philosophique, cinéphilique, anthropologique et sociologique en allant questionner une corporalité d’un cinéma de la marge qui n’a rien d’anodin. » (Cédric Lépine)
«Il faut voir du porno !»
La pornographie ne relève pas seulement du voyeurisme ; elle est aussi transgression par rapport à l’ordre établi. Interview d’Éric Falardeau qui signe l’essai « Le corps souillé ».
https://soirmag.lesoir.be/264269/article/2019-12-03/il-faut-voir-du-porno
Le corps souillé dans Le Monde
Les toilettes, dernier lieu de l’intime
Sujets tabous s’il en est, les fonctions de miction et d’excrétion provoquent souvent le dégoût. Mais le plaisir sexuel ne peut pas faire l’économie de la connexion avec les organes voisins, nous rappelle la chroniqueuse de « La Matinale », Maïa Mazaurette.
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Nuit blanche magazine littéraire
Dans le dernier numéro de Nuit blanche magazine littéraire, David Laporte vous invite à découvrir « Le corps souillé » et à effectuer avec lui un «aller-retour instructif entre deux genres à première vue dissemblables».
« Fluide comme Éric Falardeau »
« Éric Falardeau peut avoir l’air d’un cas à part dans le milieu du cinéma au Québec, lui qui navigue entre la réalisation, l’écriture et l’enseignement. La raison, sa curiosité maladive et son intérêt pointu pour les courants marginaux qui constituent aux yeux de plusieurs le côté plus scabreux de l’univers du septième art. La spécialité d’Éric Falardeau, c’est l’horreur, les effets spéciaux, l’érotisme, la porno et… les fluides. C’est d’ailleurs ce dernier élément qui pique aujourd’hui notre curiosité, car il est au cœur de son nouvel essai intitulé Le Corps souillé : gore, pornographie et fluides corporels, un livre paru récemment aux éditions L’instant même dans la collection « L’instant ciné ». Entrevue avec un passionné d’un cinéma de l’extrême. »
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