RVQC PRO | TÊTE-À-TÊTE | EFFETS SPÉCIAUX MADE IN MONTREAL

Dans le cadre de la 7e édition des Rendez-vous Pro, j’aurai le plaisir d’animer un tête-à-tête avec l’équipe montréalaise du studio d’effets numériques Framestore.

Toutes les informations sur l’événement sont disponibles ici sur le site des Rendez-Vous Québec Cinéma.

Animation :
Éric Falardeau

Intervenant.e.s | Speaker :
Chloe Grysole, Directrice Générale de Framestore
Adrien Saint Girons, Superviseur CG

Forte d’une créativité peu commune, Montréal est devenu l’un des pôles internationaux pour la création d’effets spéciaux. Avec des revenus d’un demi-milliard de dollars, les différents studios de création s’appuient sur 5000 employé.e.s. qualifié.e.s. Mais cette impressionnante croissance vient avec de nombreux défis. Discussion avec des intervenants du milieu qui feront un état des lieux et parleront des possibilités d’avenir de ce secteur clé de l’industrie cinématographique québécoise.

Le studio Framestore à Montréal a connu ses premiers jours en 2013 avec une équipe de 20 personnes. Aujourd’hui, le studio compte près de 600 employés et a également connu une expansion grâce aux projets uniquement basés à Montréal, tels que Blade Runner 2049, primé d’un Oscar. La division immersive de Framestore est basée à Montréal et fait appel au talent créatif de la ville et de la culture tout en poursuivant l’héritage de Framestore en expériences innovantes. Mulan, Dumbo et Pokémon: Détective Pikachu font partie des films en cours de production.

« To Strip and to Tease: Archives and Concealment in Found Footage Pornography »

FFM#5

C’est toujours un privilège, que dis-je, un honneur, de collaborer avec des personnes brillantes !

Cette fois-ci, c’est avec Annaëlle Winnand que j’ai eu le plaisir d’écrire un court essai à propos de found footage, de pornographie, d’archives et de… strip tease pour le dernier numéro de la superbe revue Found Footage Magazine !

Strip and Tease

Voici le résumé de notre texte :

 »Pornography has a specific place in experimental found footage filmmaking. Not only are its pleasurable images used as commentaries ranging from social critique to outright humor or as an aesthetic exercise, but also because porn’s body of work constitutes an extensive resource for filmmakers to dig from. Crisscrossing medium, aesthetic style and types of production, the genre has been constantly diversifying itself. More recently, porn images, both amateur and mainstream, have been multiplying through new technologies and online platforms. As a raw filmic and videographic material, it is therefore a fertile ground, allowing multiple stories to be told. What interests us here is precisely this extensive body of work, often called the porn archives, and its translation into found footage filmmakers’ works. »

L’article est inclus dans un dossier intitulé  »Dirty Movies and Second Hand Poetics » (coordonné par André Habib, Université de Montréal).

Pour un résumé du numéro et de quelques-uns des articles, cliquez ici.

Et c’est ici pour commander les numéros de Found Footage Magazine.

Bonne lecture !

FFM#5 Dirty.jpg