Mois : novembre 2021
Qui a tué Marie-Josée?
QUI A TUÉ MARIE-JOSÉE? : un ‘true crime’ sur le meurtre sordide d’une top-modèle québécoise
Une série documentaire originale Crave disponible en français dès le 10 novembre 2021 et prochainement en version originale sous-titrée en anglais
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Dès le mercredi 10 novembre, Crave propose à ses abonnés QUI A TUÉ MARIE-JOSÉE?, une série documentaire sur le meurtre de la mannequin Marie-Josée St-Antoine. Au sommet de sa gloire, la jeune femme est retrouvée morte en 1982 à Manhattan. 40 ans plus tard, une équipe retourne sur les traces de cette affaire nébuleuse pour comprendre ce qui s’est passé.
QUI A TUÉ MARIE-JOSÉE? est une série originale Crave. La série documentaire de trois épisodes de 60 minutes est réalisée par Jean-François Poisson (LÉO-PAUL DION : CONFESSIONS D’UN TUEUR). Elle est produite par Attraction Images en collaboration avec Bell Média. Tous les épisodes sont disponibles en rafale dès le mercredi 10 novembre et bientôt en version originale sous-titrée en anglais.
Bande-annonce : https://www.facebook.com/watch/?v=246554354161136

La mirada de Éric Falardeau (Retrospective + Q&A) – Terror Molins 2021

https://users.molinsfilmfestival.com/en/schedule/28
18 NOV 21 20:00
« An essential session around the figure of the filmmaker Éric Falardeau. The program will include the viewing of a selection of his best short films: La petite mort (2006), Purgatory (2006), The Forest (2020), Le Cycle (2009), Crépuscule (2011), Thanatomorphose Trailers (2012) followed by a talk with the director himself based in Canada and moderated by José Miguel Rodríguez, responsible for godsymonsters.com. Free. »
La petite mort (2006)
Purgatory (2006)
Le Cycle (2008)
Crépuscule (2011)
The Forest (2020)
Thanatomorphose Teasers I + II (2021)
Online live Q&A
ASMODEUS – MUTOSCOPE (LYON)

https://www.mutoscope.fr/menu/competition-4-2021/
https://www.mutoscope.fr/movie/asmodeus/
« Messe noire, incantation, ésotérisme et érotisme. Le réalisateur de Thanatomorphose se livre à une véritable mise à nu, au sens premier du terme, et se dévoile comme jamais dans cette œuvre aussi conceptuelle que sensorielle.
Black mass, incantation, esoterism, and eroticism. The director of Thanatomorphose disrobes for the camera in this conceptual and sensorial exploration of intimacy, desire, and identity. »
Samedi 13 novembre 2021
21h45
Interdit aux moins de 18 ans (violence, nudité et sexe explicites)
ASMODEUS – III OCULTO HORROR FILM FESTIVAL
ASMODEUS – REVUE DE PRESSE I
« Difficile de ne pas faire un rapprochement entre ce film et les premières tournées de manivelles du grand David Lynch, à l’époque où il faisait du short film. Cela dit, l’influence du cinéaste expérimental Stan Brakhage (Dog Star Man, Stellar) se ressent énormément, de même que celle de Kenneth Anger (Fireworks), dont plusieurs ne se rappellent uniquement que de son ouvrage Hollywood Babylon, dans lequel il racontait les commérages qu’il avait entendu sur des stars célèbres.
Asmodeus est pour adultes avertis, mais nous offre un voyage comme on en voit peu dans le paysage du cinéma québécois »
« Dans Asmodeus, le cinéaste se filme lui-même et invoque trois femmes qui l’entraînent dans un rituel de luxure où se mêlent plaisir et souffrance. Falardeau signe une mise en scène qui rend hommage entre autres au cinéma d’avant-garde tout en mélangeant les univers et les genres de façon inédite (horreur, sexe, occulte, autoportrait, expérimental), à travers un superbe usage du super8 qui confère un aspect à la fois fantomatique et très charnel à l’action : entre l’instantané de la jouissance, l’immuabilité du rituel et la mortalité de la chair, le film se construit comme une vanité. »
« Sur la forme, je vois Asmodeus comme le cousin spirituel de The Alphabet de David Lynch : l’univers d’Eric Falardeau est tout aussi dérangeant, même s’il n’aborde pas les mêmes thèmes. Personnellement, j’adore ce genre de proposition où tout peut arriver, où tout peut nous sauter à la gueule sans crier gare. En ce sens, Asmodeus est une expérience exceptionnelle, comme il s’en fait peu. Ici, les frissons d’épouvante se conjuguent aux frissons de dégoût : Falardeau maîtrise avec justesse l’art de la provocation sensorielle par de la poésie-fantôme. »