https://www.recensissimo.com/2020/06/thanatomorphose-recensione-film.html
« Per il resto, voglio soltanto menzionare il grandissimo e poetico finale, dove il trionfo del body horror trova il suo totale compimento, lasciando unicamente lo spazio al ronzio delle mosche e all’incedere dei violini. Applausi. »
Mois : juin 2020
Cryptshow : UN JURAT INTERNACIONAL PREMIARÀ ELS MILLORS CURTMETRATGES

I’m so happy to be a member of the jury for this year edition of the amazing Cryptshow Fest.
This festival and its team hold a special place in my heart for many reasons since 2008.
I strongly recommend you to have a look at their online program and screenings.
To read more about the jury and the festival:
http://cryptshow.blogspot.com/2020/06/un-jurat-internacional-premiara-els.html
[Je me souviens] Thanatomorphose: horreur corporelle
« Thanatomorphose est une œuvre exigeante qui n’est pas à la portée de tous. En plus d’être assez graphique, le rythme est lent et l’atmosphère est anxiogène. Ainsi, l’entièreté du long métrage se déroule dans l’appartement de Laura (Kayden Rose). À aucun moment notre regard se porte à l’extérieur. Même les rares fenêtres de l’endroit sont masquées ou hors-champ. La dépression dans laquelle s’enfonce la jeune femme est donc fortement ressentie par le spectateur (ce qui en fait un film difficile à voir, surtout en période de post-confinement). »
La suite ici :
La faim, la tristesse ou l’amour ?
Mention de mon dernier essai « Le corps souillé : Gore, pornographie et fluides corporels » sur le blog Les 400 culs du quotidien français Libération !
Le livre est toujours disponible en librairie ou sur commande au Québec ainsi qu’en Europe.
« Pour le chercheur Éric Falardeau, auteur d’un essai sur le gore et sur le porno (Le corps souillé), le plaisir esthétique éprouvé face au gros plan sur un visage relève presque de l’épiphanie : c’est une apparition. Cette apparition ne prend sens, d’ailleurs, qu’au moment même où l’image du visage disparaît, remplacée par l’image d’un couteau qui s’abat (ou d’un pénis qui entre) pour «déchirer la chair» et, ce faisant, «donner à voir le contrechamp de ce regard.» »
La suite ici :
http://sexes.blogs.liberation.fr/2020/06/17/la-faim-la-tristesse-ou-lamour/
BOOK REVIEW – (SUB)URBAN SEXSCAPES: GEOGRAPHIES AND REGULATION OF THE SEX INDUSTRY
« BOOK REVIEW BY ÉRIC FALARDEAU, UNIVERSITÉ DU QUÉBEC À MONTRÉAL
Sex has always had close ties with boundaries, limits, and transgression; especially within the public confines of towns, cities, and countries. Therefore, it isn’t surprising that its public display and consumption have been subject to diverse regulations around the world in order to contain its dangerous power within constricted and monitored territories. These spatial configurations and limitations create singular discourses on sex (Foucault: 1976) by the way these discourses are framed in public spaces, wherever sex is showcased (sex shops, strip clubs, prostitution, adult video stores or theatres, publicity, red-light districts, BDSM venues, etc.). »
Full review :
Pourquoi ces visages convulsés ? (Libération – Blog Les 400 Culs)
Mention de mon dernier essai « Le corps souillé : Gore, pornographie et fluides corporels » sur le blog Les 400 culs du quotidien français Libération !
Le livre est toujours disponible en librairie ou sur commande au Québec ainsi qu’en Europe.
« Dans un très stimulant ouvrage intitulé Le corps souillé, le chercheur québécois Éric Falardeau s’intéresse au lien qui unit ces deux genres cinématographiques : l’exhibition spectaculaire des émotions (psychiques) et de leur pendant corporel (les fluides). Les mises en scène excessives du porno et du gore sont transgressives, dit-il, parce qu’elles montrent des passions (à une époque qui les condamne) et des convulsions de chair, jugées de nos jours parfaitement suspectes. Dans notre société – dominée par les valeurs du contrôle de soi–, les «transports» et les effervescences sont devenus des pathologies. Celui ou celle qui perd la maîtrise de ses sens ferait bien de consulter. Trop d’envies ? Addiction ! Trop de pulsions ? Danger. »
La suite ici :
http://sexes.blogs.liberation.fr/2020/06/10/pourquoi-ces-visages-convulses/