« Avatar : Feu et cendres» , le troisième de la franchise, prend l’affiche aujourd’hui, à quelques jours de Noël. Le film de James Cameron promet déjà d’être un succès au box-office du temps des fêtes, malgré sa durée de 3h15. Les critiques sont mitigées, mais tous saluent la qualité des effets spéciaux et des scènes d’action. Nous en avons parlé avec Éric Falardeau, réalisateur et spécialiste des effets spéciaux.
Le partenariat international de recherche TECHNÈS est fier de présenter la journée d’étude intitulée « TECHNÈS / MACHINES : un partenariat en perpétuelle mutation ». Cet événement marquera un moment fort de bilan et de réflexion autour de près de quinze années de recherches consacrées aux techniques et technologies du cinéma. Rassemblant des chercheur·ses ayant contribué aux travaux de TECHNÈS, la journée proposera en matinée un retour sur les nombreuses réalisations du partenariat – colloques, publications, projets doctoraux, collaborations internationales et développement de l’Encyclopédie raisonnée des techniques du cinéma. L’après-midi sera consacrée à une mise en perspective de ces recherches dans un contexte plus large, en dialogue avec des initiatives parallèles et des enjeux contemporains comme la transition numérique, l’archéologie des médias ou les études écocritiques. Cette journée se veut aussi un espace de conversation ouverte sur les manières dont l’étude des techniques transforme les pratiques de recherche, d’enseignement et de création.
La journée d’étude se déroulera le mercredi 30 avril prochain à la salle 580-31 de l’Université de Montréal (3744 rue Jean-Brillant – station Côte-des-Neiges).
Cette semaine, Éric Falardeau présente le dossier consacré aux effets spéciaux contemporains qu’il vient de diriger pour le nouveau numéro de la revue.
En deuxième partie, Robert Daudelin fait un retour sur LES ORDRES de Michel Brault, film incontournable de l’histoire du cinéma québécois qui célèbre ses 50 ans cette année.
J’ai eu le plaisir de diriger le prochain numéro de 24 images qui est disponible en précommande et sera en kiosque dès le 23 septembre. Le thème : les effets spéciaux ! Événement-lancement à venir.
Merci à l’artiste Jérôme Bertrand pour ce magnifique visuel de couverture !
« Tout au long de son histoire, le cinéma a provoqué l’émerveillement et a ouvert nos yeux sur d’autres possibles: univers singuliers d’images en mouvement, couleurs envoutantes, espaces oniriques, sans parler des effets spéciaux – matière première du septième art – fruits d’une longue histoire multidisciplinaire méconnue. Ce livre, qui traverse le siècle du cinéma, propose une archéologie de certaines expérimentations menées entre le monde des prises de vue réelles et celui de l’animation. En présentant un corpus surprenant et diversifié, qui renouvelle les canons habituels des films à grand déploiement d’effets spéciaux et fait se côtoyer la science-fiction avec le cinéma expérimental, il permet de dépasser les idées reçues, notamment celle de la rupture du « tournant du numérique », et d’élargir ainsi notre connaissance de la manufacture du merveilleux. »
La première leçon du cours de MONSTRUM Hiver 2022, CORPORALITÉS HORRIFIQUES ET ABJECTIONS MATÉRIELLES,
« L’extase technique de la matérialité : horreur, effets spéciaux et corporalité, » d’Éric Falardeau est disponible.
En français et gratuit.
Les maîtres de l’effet spécial ont trouvé divers moyens de créer de faux corps propices à l’acharnement meurtrier. Le corps permet une immersion dans la fiction, mais la facticité des effets gore permet aussi la distanciation nécessaire à l’appréciation de la violence. Tout en étant artifice, le corps gore nous rappelle que nous ne sommes que matière en insistant sur tous ces déchets, ces organes, ces orifices et cette peau constamment épiés par la caméra. Que peuvent nous révéler les liens qui unissent effets spéciaux, matérialité et corporéité dans le cinéma de genre ?
HIVER 2022 (21 & 28 mars, 4, 11 & 18 avril) Éric Falardeau, Jean-Charles Ray, Charlie Ellbé, Alexandra Dagenais, Simon Laperrière
Éric Falardeau – L’extase technique de la matérialité : horreur, effets spéciaux et corporalité (21 mars)
Les maîtres de l’effet spécial ont trouvé divers moyens de créer de faux corps propices à l’acharnement meurtrier. Le corps permet une immersion dans la fiction, mais la facticité des effets gore permet aussi la distanciation nécessaire à l’appréciation de la violence. Tout en étant artifice, le corps gore nous rappelle que nous ne sommes que matière en insistant sur tous ces déchets, ces organes, ces orifices et cette peau constamment épiés par la caméra. Que peuvent nous révéler les liens qui unissent effets spéciaux, matérialité et corporéité dans le cinéma de genre ?
Je suis très fier d’annoncer l’ouverture de la nouvelle exposition « Effets spéciaux », présentée au Musée de la civilisation à Québec, pour laquelle j’ai été consultant scientifique.
C’est une belle occasion de célébrer le talent d’ici tout en s’amusant en famille avec de nombreux dispositifs.
Bonne visite !
REVUE DE PRESSE
Ici première, C’est encore mieux l’après-midi, à 17 h 27
Merci ! Grâce à vous, nous avons dépassé l’objectif de notre campagne de socio-financement pour ASMODEUS. Voici quelques photographies de plateau prises pendant notre premier bloc de tournage. Crédits : Jérome Bertrand, Évelyne Deshaies et Luc Desjardins Itaque dicere vaincra Asmodeus,