Célébration MONSTRUM du 50e anniversaire de la sortie de SHIVERS

The MONSTRUM celebration of the 50th anniversary of the release of SHIVERS by David Cronenberg (shot in Montréal) with Éric Falardeau and Justine Smith at the Cinémathèque on Friday, October 24th @ 7:45 pm.

Célébration MONSTRUM du 50e anniversaire de la sortie de SHIVERS de David Cronenberg (tourné à Montréal) avec Éric Falardeau et Justine Smith à la Cinémathèque le vendredi 24 octobre à 19h45.

Monstrum

Friday, October 24, 2025, 7:45pm 
​vendredi, 24 Octobre, 2o25, 19h45

Cinémathèque québécoise

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Body horror : anatomie d’un genre

Plus de quatre ans après sa publication, on parle encore du Corps souillé d’ Éric Falardeau en France (L’Éclaireur FNAC).

https://leclaireur.fnac.com/article/370841-body-horror-anatomie-dun-genre

 » Distillée sur le temps long, les changements étant évolutifs et progressifs, on la découvre avec horreur… ou excitation ? Ce n’est pas pour rien si, dans son ouvrage Le Corps souillé : gore, pornographie et fluides corporels (2019), Éric Falardeau – aussi réalisateur du dément Thanatomorphose (2012), un des classiques français du genre – rapproche l’un de l’autre, le gore et la pornographie, les deux genres étant tout aussi violents.

Les corps se trouvent alors caressés, exhibés, mais aussi pénétrés ou blessés, rendant la découverte de ces images particulièrement éprouvante. D’autant qu’une des particularités du body horror est, par l’utilisation inlassable du zoom, de diriger notre regard vers ces blessures béantes qui se forment autant dans le corps que dans l’âme. « 

https://www.leslibraires.ca/livres/le-corps-souille-gore-pornographie-et-eric-falardeau-9782895024224.html

[Je me souviens] Thanatomorphose: horreur corporelle

« Thanatomorphose est une œuvre exigeante qui n’est pas à la portée de tous. En plus d’être assez graphique, le rythme est lent et l’atmosphère est anxiogène. Ainsi, l’entièreté du long métrage se déroule dans l’appartement de Laura (Kayden Rose). À aucun moment notre regard se porte à l’extérieur. Même les rares fenêtres de l’endroit sont masquées ou hors-champ. La dépression dans laquelle s’enfonce la jeune femme est donc fortement ressentie par le spectateur (ce qui en fait un film difficile à voir, surtout en période de post-confinement). »

La suite ici :