L’instant même au Salon du livre de Québec

L’instant même vous donne rendez-vous au Salon international du livre de Québec du 10 au 14 avril.

125 titres seront disponibles sur notre stand (271 – Espace Dimedia)

11 auteurs seront présents pour des séances de dédicaces:

J’y serai pour dédicacer « Le corps souillé : gore, pornographie et fluides corporels » :

  • Samedi de 11h à 13h
  • Samedi de 16h à 17h
  • Dimanche de 11h à 12h
  • Dimanche de 13h à 15h

Je serai également à la table des Éditions Somme Toute le samedi de 18h à 19h avec mes deux livres précédents, soit Une histoire des effets spéciaux au Québec et Bleu Nuit : Histoire d’une cinéphile nocturne.

Au plaisir de vous y rencontrer !

Lancement du « Corps Souillé » à la librairie Metaluna (Paris)

« Prochaine dédicace à la boutique Metaluna ce mardi 2 avril de 18h à 20h avec notre ami québécois, Eric Falardeau de passage à Paris. Il dédicacera son nouveau livre « Le corps souillé » et le DVD Uncut Movies de son film « Thanatomorphose ». Dédicaces possible à distance en contactant la boutique. »

7 rue Dante, Paris 75005

«Le corps souillé»: de la porno et du «gore»

Photo: Marie-France Coallier Le Devoir

Superbe entretien avec Natalia Wysocka dans Le Devoir ce matin !

L’article complet ici.

Voici un magnifique extrait de la critique :

« Éric Falardeau est un cinéaste et un cinéphile passionnés. Avec Le corps souillé. Gore, pornographie et fluides corporels, l’auteur et enseignant montréalais traduit cet amour infini qu’il porte au X et à l’horrifique. Simplement, directement, il aborde, notamment, la question des métamorphoses au grand écran. Il revient aussi sur ce qui est communément considéré comme l’âge d’or du cinéma porno, dans les années 1970, sur l’importance qu’aura eue le Deep Throat de Damiano, sur le soutien qu’auront apporté au film des stars comme Jack Nicholson — et que l’on ne reverrait plus aujourd’hui. Curieux et cultivé, il déniche des oeuvres moins connues du grand public, comme Society de Brian Yuzna, pour montrer comment « un seul plan peut résumer les enjeux de toute une filmographie ». S’éloignant des discours alarmistes, sans toutefois nier les effets dérivés propres à ces genres, il décortique les codes, les met en contexte, les explique. Se concentrant principalement sur le septième art international (avec des mentions aux oeuvres gore d’ici, telles Turbo Kid, de RKSS, ou le cinéma de Karim Hussain), Éric Falardeau signe un essai concis qui donne envie de découvrir ou de revisiter de nombreux titres qui y sont compris. »